mercredi 29 janvier 2020

Syndrome mononucléosique pdf

Le syndrome mononucléosique a une définition biologique. L’hémogramme et l’examen du frottis sanguin sont suffisants pour affirmer le diagnostic. Plus de des syndromes mononucléosiques sont secondaires à l’EBV.


Les principales autres étiologies sont les infections à cytomégalovirus (CMV), la toxoplasmose, la primo-infection à. Syndrome mononucléosique I. Cytomégalovirus ( ). Mononucléose infectieuse ou primo-infection par EBV ( des cas de syndrome mononucléosique ). VIH par infection des lymphocytes T CD4. Les autres causes infectieuses sont beaucoup plus rares, par exemple : Rubéole. Hémato – Infectieux Fiche réalisée selon le plan OD Item ECNi 213.


Dernières mises à jour – Mars 2. SYNDROME MONONUCLEOSIQUE - Devant un syndrome mononucléosique , argument er les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentai res pertinents. Guillain Barré, atteinte méningée avec méningite ou encéphalite, hépatite cytolytique avec ictère. Certains examens ne font que.


Fiches ECN gratuites pour réussir les ECN. Item n° 3- Ulcération ou érosion des muqueuse orale ou génitale. Un syndrome Un syndrome est un ensemble de symptômes provoqué par une causes unique mononucléosique est caractérisé par une proportion anormalement élevé de globules blanc à un seul noyau (appelés lymphocytes monocytaires). La moitié de la population est infectée, de façon asymptomatique ou peu symptomatique, avant l’âge de ans. Connaître les différents synonymes utilisés par les laboratoires pour nommer les cellules observées dans les syndromes mononucléosiques Chapitre : Orientation diagnostique devant une.


Hyperlymphocytose avec syndrome mononucléosique Présence sur le frottis sanguin de lymphocytes hyperbasophiles en proportion variable. Enfant ou jeune adulte. Asthénie, fièvre, angine, adénopathies cervicales, parfois neutropénie et thrombopénie associées. Affirmation du rôle de l’EBV dans les formes sévères de primo-infection. Diagnostic étiologique d’un syndrome mononucléosique.


Exploration étiologique d’une pathologie tumorale. Un SMN peut aussi être la. Plan de l’enseignement 1. Les examens utiles en hématologie 2. NFS-plaquettes normale et ses anomalies 3. C’est cette dernière qui est responsable du syndrome mononucléosique.


Les anticorps hétérophiles de la mononucléose infectieuse sont produits par les lymphocytes B infectés en phase de prolifération. ECN prépare les étudiants aux ECN de médecine avec des supports pédagogiques multiples : fiches, référentiels, conférences, ECNi Blanches. Son apparition peut être retardée de quelques jours. Cette dernière est dominée par le diagnostic de mononucléose infectieuse. Le texte complet de cet article est disponible en PDF.


Epstein Barr ou cytomégalovirus, toxoplasmose), la grippe, les hépatites virales aiguës, les arboviroses en retour de pays d’endémie ou dans les zones d’endémie (dengue, Zika…), les infections streptococciques et la syphilis. Transmission materno-fœtale et infection périnatale L’atteinte par le CMV est probablement la plus fréquente des infections materno-fœtales dans le. Conduite à tenir devant un syndrome mononucléosique. Donner les examens à pratiquer devant une augmentation de la vitesse de sédimentation.


Définir une polyglobulie. La mononucléose est une maladie sans gravité dans la majorité des cas. Chez certains patients elle peut cependant provoquer une.


A Le diagnostic du syndrome mononucléosique Il faut éliminer une LAL. Une LAL se caractérise par le monomorphisme des cellules blastiques circulantes et la présence habituelle d’un syndrome d’insuffisance médullaire : présence de cytopénie(s). The full text of this article is available in PDF format.


Les formes sévères, qui engagent le pronostic vital, sont l’anaphylaxie, la pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), le syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse (Drug rash with eosinophilia and systemic symptoms – DRESS) et, surtout, les syndromes de Stevens-Johnson et de Lyell (Nécrolyse épidermique toxique – NET). Il existe plusieurs souches de cytomégalovirus, c’est pourquoi les réinfections sont possibles, Aussi, après une primo-infection, le virus demeure sous forme latente et peut donner lieu à des réactivations ou à l’excrétion asymptomatique du virus.

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