Phase secondairement progressive et facteurs pronostiques. Les informations issues de la base de données MS Base ont été analysées pour déterminer les facteurs influençant la progression du handicap chez les personnes atteintes de Sclérose en Plaques et en phase secondairement progressive. La forme primaire progressive peut donc être considérée comme une forme secondairement progressive amputée de sa phase initiale à poussées.
Lorsque cette phase chronique progressive survient après une phase rémittente à poussées, on parle de “forme secondaire progressive de SEP ”. Dans des cas, et surtout pour les patients qui débutent leur maladie après ans, les premiers sy. Un nouveau médicament, le siponimo ralentit la progression de l’invalidité dans la forme progressive de la SEP , forme sévère de la maladie pour laquelle il n’existe actuellement aucun. La forme progressive secondaire succède à la forme cyclique (poussées-rémissions) : au fil du temps, les poussées et les rémissions se font de moins en moins précises, puis on assiste à une progression continue de la maladie, qui peut être ponctuée de phases de plateau. Environ la moitié des personnes atteintes d’une forme cyclique.
Découverte d’un nouveau mécanisme de la SEP. Dans le cadre d’une étude récente, le Pr Jacques De Keyser et son équipe ont découvert un nouveau mécanisme de la maladie pouvant expliquer la mort des neurones des patients atteints de la forme progressive de la SEP. Il faut remarquer cependant que ces statistiques concernent.
Le taux global d’effets secondaires était similaire dans les deux groupes. La délétion des lymphocytes B se révèle également efficace dans la SEP primaire progressive. Une autre étude randomisée contrôlée de phase III a testé l’efficacité de l’ocrelizumab dans la forme SEP primaire progressive ( SEP -PP). Deux phases distinctes rémittente et progressive La fréquence des poussées est variable d’un individu à l’autre (en moyenne une poussée par an).
C’est la succession dans le temps de ces épisodes de poussées qui définit la forme de la maladie appelée “ rémittente ” ou “ évoluant par poussée ”. Ce nouveau traitement est destiné à la forme progressive de la maladie, dont les symptômes sont plus difficiles à traiter. La SEP progressive primaire (SEP-PP) caractérisée par une progression dès le début de la maladie est moins fréquente et touche à des patients. Je veux juste signaler que la. Une fois dans la phase progressive , les patients connaissent une aggravation graduelle de l’incapacité neurologique, pouvant entraîner des problèmes de vision, des difficultés à marcher, de l’incontinence, des changements cognitifs, de la fatigue et des douleurs.
L’amélioration, totale ou non, des symptômes survient en général après quelques semaines. Chez une partie de ces patients, cette forme évolue toutefois avec le temps vers une phase secondaire progressive. Les poussées disparaissent ici progressivement, mais on constate une dégradation neurologique plus progressive , mais continue. Seule une molécule - un immuno-suppresseur rarement prescrit en raison de ses effets secondaires sévères - a été approuvée pour la forme progressive secondaire qui peut finalement survenir pour certains patients atteints de Sep rémittente.
Après un nombre d’années variable, la SEP-RR risque d’évoluer vers une SEP dite secondaire progressive où les déficits neurologiques s’installent petit à petit, en l’absence de poussées. La SEP primaire progressive, qui est une forme plus rare, évolue dès le départ sans aucune poussée. De nouveaux traitements mis au point devraient permettre de stabiliser l’évolution de la SEP-RR pour bon nombre de patients. La phase secondaire de la maladie, lorsqu’un handicap permanent s’installe et que la maladie ne fait que s’aggraver progressivement, est appelée progressive.
Cependant, dans des cas, la SEP est progressive d’emblée et la première phase n’existe pas. Type : Progressive secondaire. La première phase se caractérise par le type de poussée-rémission, c’est-à-dire en poussée de symptômes qui s’estompent partiellement ou totalement après une période de temps. La deuxième phase se caractérise par une aggravation constante des.
Cette forme se découpe en deux phases distinctes. Une minorité ( ) commence par des symptômes primaires progressifs. Une description précise des différentes formes évolutives de la SEP est nécessaire afin de mieux classifier la maladie chez chaque patient et de mieux adapter le traitement immunomodulateur en fonction de cette évolution. Dans cette phase secondaire, il n’y a plus de phases de rémission.
Une autre forme de SEP est la sclérose en plaques progressive primaire qui est directement comme son nom l’indique progressive, c’est-à-dire sans phase de rémission. MedDay est une société française de biotechnologie. Elle développe des nouveaux médicaments pour le traitement des troubles du système nerveux. SEP-PP, encore orphelines de trai-tements démontrés efficaces, dont l’évo-lution à bas bruit conduit à un handicap progressif non contrôlable.
Le Lymphocyte B, nouveL acteur dans La pathogenèse de La sep Depuis plus de vingt ans, l’équipe du centre SEP de San Francisco (Pr S. Hauser, UCSF) s’intéresse au rôle des lymphocytes B et des autoanticorps dans cette maladie. Dans le cas de la SEP récurrente-rémittente, l’état du patient reste stable entre deux poussées et on n’observe donc pas de dégénération au cours de cette période. Etude de la fluoxetine dans la sclérose en plaques de forme progressive. Description de l’étude: Il s’agit d’une étude en double-aveugle, multicentrique, contrôlée par un bras placebo, et randomisée, visant à démontrer l’efficacité de la fluoxetine dans la SEP primaire ou secondaire progressive. Un médicament expérimental vient de confirmer son potentiel à améliorer l’état des patients atteints de sclérose en plaques progressive.
Les résultats de cette large étude de phase III doivent être présentés au congrès annuel de l’American Academy of Neurology, qui se tiendra le avril à Washington. SEP englobent les patients atteints de SEP récurrente-rémittente et ceux atteints de SEP secondaire progressive qui continuent à présenter des poussées. L’essai de phase EXPAND vient d’évaluer son efficacité et sa sécurité dans la SEP-SP. Une réduction du risque de progression du handicap L’étude a inclus des patients présentant un handicap modéré ou avancé : présentaient un EDSS de ou plus et plus de d’entre eux nécessitaient une aide à la marche. La forme secondairement progressive est l’évolution naturelle tardive de la forme précédente, une phase de progression succédant à la phase rémittente.
Forme secondairement progressive. Elle peut toucher tous les patients initialement rémittents, après une période plus ou moins longue, de à ans en moyenne.
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