Un test de marche sur tapis roulant. Il peut ensuite augmenter progressivement la durée et la vitesse de sa marche. Le traitement de l’artérite oblitérante des membres inférieurs (AOMI) vise à soulager les douleurs, à augmenter la distance de marche sans ressentir de douleur ou de claudication, et à prévenir les complications locales ou cardiovasculaires.
Le périmètre de marche (distance au bout de laquelle le malade est obligé d’arrêter de marcher à cause de la douleur) peut être plus ou moins diminué en fonction de la gravité de l. L’ischémie est l’insuffisance d’apport sanguin et, en particulier, d’oxygène. Lorsqu’une personne marche ou court, les muscles de ses jambes ont besoin de davantage d’oxygène mais, si elle souffre d’artérite oblitérante, le débit autorisé par ses artères ne suffit pas. On parle alors d’ischémie d’effort.
Lorsque l’artérite des membres inférieurs est douloureuse et invalidante, notamment en cas de restriction sévère du périmètre de marche , malgré plusieurs mois de traitement médical bien. La marche est le plus naturel des traitements dilatateurs des artères. Elle augmente le rendement énergétique du muscle et développe la circulation collatérale. Il faut démarrer lentement, marcher en souplesse. Le syndrome de Leriche (en anglais Leriche syndrome).
Par exemple, des douleurs dans les mollets très importantes à la marche , les pieds qui restent froids, voire la nécessité d’une amputation. De plus, l’artérite s’associe souvent à d’autres maladies graves touchant les vaisseaux, comme un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. Afin de relancer la circulation sanguine, le médecin prescrit des soins de carbothérapie thermale. Par ailleurs, des séances de piscine en eau thermale ou des séances de couloir de marche peuvent être indiquées. Ces crampes réapparaissent toujours au bout de la même distance de marche.
Une activité physique quotidienne – par exemple une marche de minutes – fait également partie du traitement. Une alimentation saine et équilibrée doit être adoptée. Le périmètre de marche (distance de marche entre deux arrêts) peut être plus ou moins réduit en fonction de la gravité de l’artérite. L’artérite des membres inférieurs ou artériopathie périphérique provoque en général de manière progressive l’occlusion des artères irriguant les membres inférieurs, déclenchant une douleur dans les jambes, notamment lors de la marche. Elle est le témoin de la présence de l’athérosclérose chez un individu.
Bilan d’extension à distance L’objectif est de rechercher une (d’) autre(s) atteinte(s) vasculaire(s) – coronaires, carotides, aorte, artères rénales et mésentériques – et orienter la décision thérapeutique. En général, les premiers symptômes de l’artériopathie oblitérante des membres inférieurs apparaissent lors de la marche , après avoir parcouru une certaine distance. Apparaissent progressivement des douleurs dans les muscles des jambes, ressenties dans un premier temps uniquement lors de la marche : on parle de claudication intermittente.
L’artérite (ou AOMI : artériopathie oblitérante des membres inférieurs) est une pathologie cardio-artérielle caractérisée par l’obstruction d’une ou plusieurs artères et se traduisant par des douleurs dans les jambes, gênant peu à peu la marche au quotidien. Marcher tous les jours lentement pendant au moins une heure est une bonne mesure d’hygiène de vie pour ralentir l’évolution de l’artérite, voire gagné en périmètre de marche. L’artérite des jambes est une atteinte inflammatoire des artères qui réduit la circulation artérielle au niveau des jambes. Le principal symptôme est une douleur à la marche prolongée qui cède dès l’arrêt. Le tabac, le diabète et l’excès de cholestérol font partie des grands responsables.
Il est donc important de diagnostiquer cette maladie le plus tôt possible. Education du patient : changement important de mode de vie, bien suivre les traitements, respecter les contrôles médicaux (diagnostic précoce des symptômes cardiovasculaires). Cette atteinte ischémique est en général indolore et révélée le plus souvent par un trouble trophique.
La crampe apparaît pendant la marche et elle s’arrête dès que l’on prend une petite pause. Pieds, fesses et cuisses peuvent également être des foyers douloureux de l’artérite. L’artéritique montre une claudication suite aux douleurs qu’il ressent au niveau de ses membres. La poursuite de la marche et de l’exercice physique, excellents vasodilatateurs naturels, est aussi indispensable. L’intervention chirurgicale est indiquée quand les symptômes ne diminuent pas malgré le traitement médical et une bonne hygiène de vie retrouvée.
Au début, les symptômes sont faibles et difficilement détectables : cela peut être une migraine, une gêne à la marche , etc. Dans ces cas, le médecin de famille orientera vers un angiologue. Avec le temps, une artérite non soignée peut provoquer l’obstruction de vaisseaux sanguins, entraînant des conséquences graves : accidents cérébraux ou cardiaques, nécrose des tissus.
Entraînement régulier : la marche tous les jours pendant une heure d’une allure lente et régulière est le meilleur traitement possible. Le patient doit s’arrêter dès l’apparition de la douleur et repartir deux minutes après la disparition totale de la douleur. Stade : Claudication intermittente, apparition à la marche , à l’effort, d’une douleur, d’une gène ou crampe conduisant à l’arrêt de l’effort et qui se manifeste toujours à la même distance ou au même nombre de pas effectué. On prend en considération la distance : si inférieur à 150m le stade est fort, si supérieur à.
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