Mononucléose infectieuse ou primo-infection par EBV ( des cas de syndrome mononucléosique ). Cytomégalovirus ( ). VIH par infection des lymphocytes T CD4. Les autres causes infectieuses sont beaucoup plus rares, par exemple : Rubéole. Syndrome mononucléosique.
Un syndrome Un syndrome est un ensemble de symptômes provoqué par une causes unique mononucléosique est caractérisé par une proportion anormalement élevé de globules blanc à un seul noyau (appelés lymphocytes monocytaires). Plus de des syndromes mononucléosiques sont secondaires à l’EBV. Les principales autres étiologies sont les infections à cytomégalovirus (CMV), la toxoplasmose, la primo-infection à HIV, la dengue, ou une réaction médicamenteuse.
Une Fiche MedG Orientation Diagnostique √ Fiche relue par un tiers. Hémato – Infectieux Fiche réalisée selon le plan OD Item ECNi 213. Dernières mises à jour – Mars 2. L’év olution habituellement spontanément régressive sans traitement finit de caractériser habituellement les syndromes mononucléosiques dans cette forme non compliquée.
Cette situation est à l’origine des syndromes mononucléosiques les plus intenses (en termes de numération sanguine). Définition Présence d’une hyperlymphocytose constituée de lymphocytes atypiques, représentant à des leucocytes Ce syndrome est le plus souvent diagnostiqué chez les enfants. Chez certains patients elle peut cependant provoquer une. Guillain Barré, atteinte méningée avec méningite ou encéphalite, hépatite cytolytique avec ictère. Certains examens ne font que.
Caractérisées par un cytoplasme bleu sur les frottis, ces cellules correspondent à des lymphocytes stimulés. Ce phénomène est généralement décrit dans des maladies infectieuses. Le syndrome mononucléosique est caractérisé par la présence dans le sang de grands lymphocytes hyperbasophiles.
Paralysie motrice et sensitive affectant surtout les membres, avec un début brutal et une régression en quelques mois, et dont le mécanisme inflammatoire, auto-immun, peut être déclenché par de nombreux facteurs (infections virales, partic.). Cette dernière est dominée par le diagnostic de mononucléose infectieuse. SYNDROME MONONUCLEOSIQUE - Devant un syndrome mononucléosique , argument er les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentai res pertinents. SYNDROMES MONONUCLEOSIQUES DEFINITION Augmentation des cellules monuclées normales avec inversion de la formule sanguine.
Apparition de grandes cellules mononucléaires hyperbasophiles (càd bleutées) ou lymphocytes atypiques. Chez le patient immunocompétent, moins de des primo-infections sont symptomatiques, principalement sous forme d’un syndrome mononucléosique. Cependant, il existe des présentations plus graves, impliquant plusieurs organes, associées à une morbidité significative.
Chauffard-Still (syndrome de).
Claude Bernard-Horner (syndrome de). Argumenter les principales hypothèses diagnostiques devant un syndrome mononucléosique et justifier les premiers examens complémentaires les plus pertinents. NFS : syndrome mononucléosique , parfois anémie hémolytique auto-immune, thrombopénie auto-immune Augmentation modérée (3-4N) des transaminases dans des cas. II) Diagnostic virologique.
Sa gravité est liée aux manifestations systémiques pouvant évoluer vers une défaillance multiviscérale et mettre en jeu le pronostic vital. Le syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse ou drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms (DRESS) est une forme grave de toxidermie qui associe des manifestations cutanées et une atteinte systémique. La mortalité est estimée à. Ce syndrome a été décrit au début des années trente suite à l’introduction de la phénytoïne chez les enfants. Mais c’est seulement dans les années nonante que.
Un SMN peut aussi être la. Il est parfois dû à une transfusion sanguine contenant des leucocytes. Ces cellules sont des lymphocytes T de grande taille, basophiles et polymorphes. Une fois la mononucléose infectieuse diagnostiquée, il s’agit de protéger son entourage de la transmission du virus.
Le pronostic de la maladie est généralement mauvais chez les personnes âgées. En revanche chez les enfants, le taux de guérison est d.
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